Pour ceux et celles qui n’auraient pas (encore !) lu mon livre Notre poison quotidien, je vous conseille cette petite critique fort informée :
J’ai reçu plusieurs messages me demandant de mettre à jour mon agenda. C’est vrai que , débordée par mes multiples déplacements et la préparation de mon prochain film et livre, j’ai eu tendance à négliger ledit agenda.
Voici donc mes activités au cours des prochains jours :
– vendredi 2 septembre, Les Herbiers (Vendée). Conférence « Bon appétit, bonne chance ! » lors de la 8e édition du Festi bio énergies.
– samedi 3 septembre, à Bouloire (Sarthe), projection suivie d’un débat de « Notre poison quotidien » au Centre Culturel Epidaure, à 14 heures 30.
http://www.nouveauconsommateur.com/agenda/15eme-edition-festival-avenir-au-naturel-albenc
– dimanche 4 septembre, à Albenc (Isère), projection suivie d’un débat de « Notre poison quotidien » au 15ème festival de l’avenir au naturel.
http://www.nouveauconsommateur.com/agenda/15eme-edition-festival-avenir-au-naturel-albenc
Par ailleurs, je signale que France Info a diffusé , aujourd’hui, un papier sur les documents de la diplomatie américaine, révélés par Wikileaks, qui montrent que les représentants de l’administration de Washington ont organisé la riposte pour neutraliser l’impact de mon film et livre Le monde selon Monsanto notamment en France (voir sur ce Blog).
Les éléments qui gênaient le plus les promoteurs institutionnels des OGM étaient ma démonstration que le fameux « principe d’équivalence en substance » qui fonde la (non)réglementation des plantes transgéniques pesticides de Monsanto, ne reposait sur aucune étude scientifique et constituait une invention concoctée par la firme de Saint Louis, avec la complicité de la Food and Drug Administration (FDA), pour éviter que les OGM soient sérieusement testés.
Ces câbles diplomatiques confirment ce que j’ai longuement décrit dans mon livre, à savoir que les OGM et les brevets qui y sont liés, sont un outil utilisé par les Etats Unis et les multinationales américaines pour contrôler le marché mondial des semences, et donc la chaîne alimentaire. Ils sont la preuve de l’extrême « proximité » (pour ne pas dire « collusion »!) entre Monsanto et le gouvernement américain.