Voici la dernière partie de mon film « Les pirates du vivant », qui raconte l’enjeu du brevetage du vivant, et donc des brevets indus (parce que violant le régime général des brevets) déposés sur des plantes, gènes, animaux ou semences. Or, cette question capitale est directement liée aux OGM: c’est l’avènement des biotechnologies qui a ouvert la porte vers cette dérive, dont je raconte l’histoire dans mon film.
Il est clair que si les semences transgéniques n’étaient pas brevetées, Monsanto et consorts ne se seraient jamais lancés dans cette aventure qui conduit vers une confiscation de la chaîne alimentaire, dont les semences constituent le premier maillon.
Je rappelle que les deux premières parties de mon film sont déjà en ligne (rubrique « les films qui m’ont conduite à Monsanto »).
« Les pirates du vivant » a remporté cinq prix:
Grand Prix du Festival international du reportage d’actualité et du documentaire de société (FIGRA), Prix Buffon, Festival international du film scientifique de Paris, Prix du Meilleur reportage, Grand Prix et Prix Ushuaïa TV du festival international de film écologique de Bourges.