Mon papier « Faites sans OGM » a déchaîné les lobbystes de l’industrie, preuve que j’ai touché là où ça fait mal. Normal: l’une des belles promesses des promoteurs des OGM, c’est que ceux-ci vont permettre de réduire la quantité de pesticides utilisés. Or, c’est tout le contraire qui se produit, ainsi que j’ai pu le constater, dès 2005, en Argentine (voir mon reportage: « Argentine: le soja de la faim » et mon livre Le monde selon Monsanto). A l’heure où le débat sur les cultures OGM est de nouveau à l’ordre du jour, je reprends donc mon papier en y reproduisant in extenso l’article du Monde de Gaëlle Dupont que j’avais cité et en y ajoutant un commentaire. La vérité est là, incontournable: pour masquer l’augmentation énorme de la consommation d’herbicides aux Etats Unis, le secrétariat à l’agriculture a trouvé une parade: il a cessé de publier les données des quantités de pesticides épandues!
Mais lisez plutôt:
Aujourd’hui, tout ce que je rapportais déjà dans mon livre a été confirmé par le dernier rapport, publié par Charles Benbrook , qui fut directeur de la division agricole de la prestigieuse Académie nationale des sciences, avant de créer un centre de promotion de l’agriculture biologique.
Intitulé « Impacts of Genetically Engineered Crops on Pesticide Use: the Firts Thirteen Years« , ce rapport confirme ce que Charles Benbrook avait déjà constaté dans ses études précédents (voir mon livre et Blog « Le monde selon Monsanto »): contrairement aux promesses de Monsanto, les OGM roundup ready n’ont pas entraîné une baisse de la consommation d’herbicides, mais une augmentation de + 382 millions de livres depuis leur introduction en 1996.
Les anglophones peuvent lire ce rapport ici:
www.organiccenter.org/science.latest.php
Les non anglophones peuvent lire cet article du Monde, publié le 29 novembre 2009 que je copie, en y ajoutant un commentaire:
Les organismes génétiquement modifiés (OGM) permettent-ils de réduire la consommation de pesticides ? L’argument, contesté par les écologistes, est mis en avant par les entreprises de semences transgéniques. Une étude, publiée en novembre par The Organic Center, un centre de recherche américain opposé aux biotechnologies, ravive ce débat en affirmant que la généralisation du soja, du maïs, et du coton OGM aux Etats-Unis depuis 1996 a abouti à une surconsommation de pesticides de 144 000 tonnes (soit deux fois la quantité utilisée par an en France).
Le directeur scientifique du centre, Charles Benbrook, ancien directeur du bureau de l’agriculture de l’Académie des sciences américaine, devenu consultant, a utilisé les données collectées chaque année par le ministère américain de l’agriculture (USDA), qui évalue par sondage les surfaces traitées et les quantités appliquées par hectare. Ces données ne distinguant pas les plantes transgéniques des conventionnelles, M. Benbrook a donc estimé « l’impact » des biotechnologies en mettant en équation les chiffres de l’USDA avec des estimations – effectuées à partir de données publiques – des traitements appliqués en moyenne en fonction des modes de culture.
Selon ces résultats, l’utilisation de maïs et de coton génétiquement modifiés pour sécréter une toxine mortelle pour les insectes ravageurs (plantes Bt) aurait permis « d’économiser » 29 000 tonnes d’insecticides depuis 1996. En revanche, la généralisation du soja Round Up Ready (RR), conçu par Monsanto pour résister au passage de son herbicide vedette, aurait abouti à une surconsommation de 173 000 tonnes d’herbicides.
Le soja RR a conquis les agriculteurs américains : il représente 90 % des surfaces cultivées de soja. « C’est ce succès qui a entraîné l’accroissement des quantités de pesticides utilisées, affirme Charles Benbrook. L’utilisation d’un seul herbicide a favorisé l’apparition de mauvaises herbes résistantes. Plus on avance dans le temps, moins le système marche. Une seule application suffisait au départ pour contrôler les mauvaises herbes. Deux à trois sont parfois nécessaires aujourd’hui. »
« DONNÉES INCOMPLÈTES »
Le rapport de M. Benbrook est contesté par le cabinet de conseil britannique PG Economics, spécialisé dans l’analyse de l’impact des biotechnologies – et en général favorable à ces dernières. « M. Benbrook utilise des données incomplètes de façon erronée », résume Graham Brookes, de PG Economics. Premier écueil : les données de l’USDA s’arrêtent en 2007 pour le coton, en 2006 pour le soja et en 2005 pour le maïs. Elles ont été complétées par extrapolation par M. Benbrook. Deuxième critique : ce dernier sous-évaluerait les traitements réalisés par les cultivateurs de soja traditionnel, peu nombreux aux Etats-Unis, donc jugés non représentatifs.
PG Economics utilise les données commercialisées par l’organisme privé DMR Kynetec, qui procède par sondage et, contrairement à l’USDA, distingue les modes de culture. Selon ces chiffres, M. Benbrook surestime l’utilisation des herbicides de 28 000 tonnes sur la période étudiée. Les mêmes données confirment toutefois une tendance à l’augmentation de l’usage des herbicides sur le soja OGM américain depuis le début des années 2000, de 10 % à 15 % par rapport à la période antérieure à 1996. Il augmente également sur le coton (de 18 % à 22 %), mais baisse sur le maïs (8 % à 12 %).
A ce débat sur les tonnages utilisés s’ajoute une controverse sur le glyphosate, la molécule active du Round Up, présentée comme moins dangereuse que celles qu’elle a remplacées. « C’est l’une des moins nocives utilisées actuellement, mais elle n’est pas sans risque », répond M. Benbrook.
Gaëlle Dupont
www.thedailygreen.com/environmental-news/pesticide-data-program-cut-44052108
Je traduis ce que dit Charles Benbrook dans cet article:
« Les données de 2007 auraient montré une augmentation énorme de la quantité d’herbicides épandus sur les cultures roundup ready, en particulier de soja. Les médias agricoles ne cessent de rapporter des histoires , au cours des dernières années, au sujet d’agriculteurs confrontés à des mauvaises herbes résistantes au glyphosate et à d’autres herbicides. Je trouve curieux que le Département de l’agriculture ait décidé d’arrêter de collecter les données, précisément au moment où il y a un intérêt majeur et un besoin d’informations solides sur l’usage des pesticides dans les cultures de soja. Je ne serais pas surpris qu’il y ait eu un lobbying discret de Monsanto pour faire enterrer ce programme ».
Quelle originalité ! Voilà que Mme Robin nous fait un copié-collé d’un billet de … 2009 !
http://blogs.arte.tv/LemondeselonMonsanto/frontUser.do?method=getPost&postId=97632&blogName=LemondeselonMonsanto
Répéter deux fois les même erreurs ne rend pas le contenu du billet plus juste. Wackes Seppi a expliqué dans le billet précédent les erreurs de M. Benbrook. Il aurait été plus intéressant d’avoir autre chose qu’un simple copié-collé qui ne répond pas aux critiques formulées.
je viens de découvrir un commentaire qui répond à Aatea et à son « coupé-collé » sans intérêt, puisque la seule source qu’il donne est un lien vers un document qui n’existe pas!
Intéressant en tout cas le fait que le secrétaire à l’agriculture des Etats Unis ait décidé d’arrêter de publier les statistiques sur les épandages de pesticides. Du coup, je suis allé sur le Blog de Mme Robin et j’ai découvert plein d’informations très documentées. Faites comme moi! Et merci à Albert L pour cette suggestion! En quoi est-ce un problème que Mme Robin réutilise les textes qu’elle a déjà écrits, puisqu’ils sont toujours d’actualité? Franchement, votre mauvaise foi et hargne ne vous honorent pas (je me répète, mais vous êtes tellement ridicule).
raloul says:
24 février 2012 à 17:18
Bonjour!
Pour les lobbyistes pro-ogm qui s’activent même jusqu’ici:
La citation exacte et entière de l’article de Lutz et compagnie, c’est: « Whereas results obtained by ELISA suggested that the concentration of the Cry1Ab protein increased during the GIT passage, the immunoblotting assays revealed a significant degradation of the protein in the bovine GIT. Samples showing a positive signal in the ELISA consisted of fragmented Cry1Ab protein of approximately 17 and 34 kDa size. Two independent sets of gastrointestinal samples revealed the apparent discrepancy between the results obtained by ELISA and immunoblotting, suggesting that the antibody used in the ELISA reacts with fragmented yet immunoactive epitopes of the Cry1Ab protein. It was concluded that Cry1Ab protein is degraded during digestion in cattle. To avoid misinterpretation, samples tested positive for Cry1Ab protein by ELISA should be reassessed by another technique. »
La mauvaise interprétation de ces résultats est donc équivoque. Les auteurs se gardent bien de tirer une conclusion définitive, pas comme les lobbyistes pro-ogm.
Dis-moi Albert L le lâche , le faux-cul, le honteux Albert L , tu n’aurais pas « oublié de me répondre ?
je reprend ce que je tai demandé :
« On ne peut prêter la moindre attention à un type lâche qui ne nous dit pas quelles sont ses compétences pour avoir le moindre jugement et pourquoi il défends les OGM?
De quoi as-tu peur Albert L ? Pourquoi cette discrétion sur ta motivation et tes compétences ? Pourquoi cette peur Albert L . Tu n’as pas la conscience tranquille ?
Alors Albert L le lâche ? Tu n’a pas honte d’être aussi lâche ? Tu ‘as donc aucune fierté? aucun amour propre? Tu t’en fout d’être aussi médiocre ? Quel est ton métier, tes compétences et pourquoi cet acharnement à défendre les OGM et les entreprises bandits maintes fois condamnées par la justice qui les produisent ? Que t’importe qu’on soit contre les OGM ? On te fais du tort ? Le quel ?
Mme Marie-Monique Robin nous offre encore une fois une extraordinaire démonstration de son attachement à l’éthique et la déontologie journalistiques.
Sa réponse à des critiques : des insultes pour ses contradicteurs et, par-delà, ses lecteurs. Un beau sophisme : on aimerait, en effet, connaître la source crédible de ces « belles promesses des promoteurs des OGM » – notez bien : tous les OGM – qui, d’après ceux-ci, « vont permettre de réduire la quantité de pesticides » – notez bien : tous les pesticides. Avec évidemment, un égocentrisme et un nombrilisme effrénés : on aimerait savoir, en effet, comment elle a « pu […] constater » une augmentation de l’utilisation des pesticides, autrement dit, toutes matières actives confondues, en Argentine.
Constater – enfin, c’est ce qui est prétendu – en Argentine, pour passer, sans transition, aux États-Unis d’Amérique… autre beau sophisme.
À cela il faut, bien sûr, ajouter une belle théorie de la conspiration : « pour masquer l’augmentation énorme de la consommation d’herbicides aux Etats Unis, le secrétariat à l’agriculture a trouvé une parade: il a cessé de publier les données des quantités de pesticides épandues! »
Parce que le lecteur naïf – et surtout que le thuriféraire de service – va gober l’argument. Mme Marie-Monique Robin ne se prive donc pas d’user d’une ficelle éculée de la propagande. Mais réfléchissez, lectrices et lecteurs : il serait possible, pour le gouvernement d’un pays démocratique, de « masquer » un fait (allégué) tout simplement en cessant de publier des statistiques ?
Allons donc ! Mme Marie-Monique Robin feint d’ignorer l’existence des autres sources, notamment privées, de statistiques. Du reste, si elle s’était donné la peine de lire la réfutation du papier de M. Charles Benbrook par PG €conomics, elle serait tombé sur DMR Kynetec, « an independent, private sector source of data on agricultural input usage in the US ».
Mme Marie-Monique Robin a eu la bonne idée de citer The Daily Green – peu suspect d’affection pour ces entreprises auxquelles elle voue une haine tenace. On y apprend que l’USDA a coupé le programme de collecte de statistiques pour des raisons budgétaires. On peut aussi l’apprendre d’autres sources ; et, en fait, la théorie de la conspiration ne semble pas avoir eu un grand succès sur la toile.
Mais les théories de la conspiration sont décidément inévitables dans l’esprit et les écrits de Mme Marie-Monique Robin. Et, comme il se doit, le grand conspirateur ne peut être que Monsanto…
Syngenta a écrit au Secrétaire à l’agriculture Ed Schafer, Monsanto n’a pas écrit (quasi impossible à prouver…), c’est donc que Monsanto a encore fait un mauvais coup.
Mais voilà : CropLife America s’est décarcassé pour faire rétablir le service statistique, comme on peut le lire sur son site. CropLife America ? Vous y trouverez un membre dont le nom commence par un M…
@ coco,
« je viens de découvrir un commentaire qui répond à Aatea et à son « coupé-collé » sans intérêt, puisque la seule source qu’il donne est un lien vers un document qui n’existe pas! »
Vous n’avez peut-être pas lu ma réponse à votre commentaire dans le billet intitulé « rencontre avec le Pr. Vincent Garry« . Vous devriez la lire. Quant à la source citée par aatea, elle existe, c’est le lien qu’il donnait qui est mort, ce n’est pas pareil. Elle existe tellement que vous en citez même un paragraphe… sans le comprendre.
« La mauvaise interprétation de ces résultats est donc équivoque. »
=> Où y voyez-vous une mauvaise interprétation ? Les auteurs discutent les résultats de travaux antérieurs à la lumière des résultats qu’ils apportent. Leur conclusion est au contraire, tout, sauf équivoque : « It was concluded that Cry1Ab protein is degraded during digestion in cattle. » Mme Robin prétend l’inverse: « De plus, des prélèvements réalisés par l’Ecole Technique Supérieure de Weihenstephan»confirment que la toxine BT, loin d’être détruite par le système digestif des vaches, a été décelée dans le sang, le foie,la rate et les intestins des animaux. »
Je vous recopie la fin de mon commentaire posté dans l’autre billet qui vous a sans doute échappé:
Et que lit-on d’autre dans ces travaux ?
« (…)Cry1Ab protein survived passage through the GIT but was not transferred to liver, spleen, kidney, lymph nodes, or muscles. » … soit exactement l’inverse de ce qu’affirme Mme Robin!!
….://wzw.tum.de/physio/fileadmin/1.Seite/Sonstige/Lutz-et-al-2005.pdf
Et comme le dit aatea, Mme Robin n’a jamais expliqué cette contradiction, malgré les commentaires qui avaient déjà été faits à l’époque.
@ M. zeppe,
Je n’ai aucune compétence particulière. J’ai noté des invraisemblances, pour ne pas dire des contre-vérités, dans les écrits de Mme Robin. J’en fais part aux lecteurs de ce blog. Vous devriez me remercier au lieu de m’aboyer dessus comme un roquet parce qu’il ne faut pas compter sur Mme Robin pour corriger ses « erreurs ».
@ M. Wackes Seppi,
Les sources remettant en cause l’approche utilisée par M. Benbrook sont assez nombreuses et parfaitement étayées. Ainsi, les travaux de Smyth et al. (2011) réalisés par des chercheurs de l’Université de Sakatchewan et de l’Université d’Edinburgh sur l’impact environnemental du colza tolérant aux herbicides abordent aussi les méthodes de calculs douteuses pour ne pas dire erronées utilisées par M. Benbrook. Je vous cite l’extrait, pour les anglophones:
« Benbrook (2003, 2009) argues that herbicide use increased between 1996 and 2003 by 50 million pounds and that by 2009 genetically engineered crops were responsible for an increase of 383 million pounds of herbicide applied in the US. Benbrook draws upon United States Department of Agriculture’s National Agricultural Statistics Service (NASS) for his data, which does not differentiate between GM and non-GM crops and hence has to be interpolated based on secondary estimates for GM and non-GM acres. USDA–NASS data is available to 2005 and Benbrook has extrapolated for subsequent years, which show the largest increase in herbicide use. Benbrook’s increase in the rate of adoption is 5% annually, which is ambitious. Adoption rates post 2005, have tapered off and to some extent, are close to approaching the upper limits of market share for this technology. Assuming a continual rate of increased adoption of 5% does not reflect the realities of the market. In addition, Benbrook assumed farmers used the recommended rate of application, which is not always an accurate reflection of production decisions(3). Depending on a variety of factors (e.g. moisture, weed density and insect populations) producers will often apply chemical at a rate that is below the recommended rate, particularly if there is no evidence of the target they want to control. The final factor that discounts Benbrook’s assertions is that he does not take into account the increase in the number of acres being planted to the commodities he examines. For example, corn production in the US increased by over 16 million acres between 2003 and 2008 (USDA–NASS, 2008). »
….://www.ask-force.org/web/HerbizideTol/Smyth-Environmental-Impacts-HT-Canola-2011.pdf
Depuis 2009, Mme Robin répète sans se poser de question la propagande d’un lobby anti-OGM et anti-pesticides qu’est le « Organic Center » mais taxera de « lobbystes (sic!) de l’industrie » les personnes qui pointeraient ses erreurs… Démarche étonnante de la part d’une personne qui se dit journaliste.
@ Albert L
« Je n’ai aucune compétence particulière. J’ai noté des invraisemblances, pour ne pas dire des contre-vérités, dans les écrits de Mme Robin. J’en fais part aux lecteurs de ce blog » »
Alors comme çà , tu interviens sur tous les forums du monde pour y dénoncer les contre-vérité ? Il y en a dans TOUS le médias du monde ? sinon pourquoi choisir celui de MM Robin ?
Des contre-vérité il y en a dans tous les médias, c’est à dire dans la presse généraliste, économique, féminine, automobile, mode, nouvelles technologies, …etc Es ce que tu interviens dans TOUS ces médias pour « rétablir la vérité » ?
Et puis, si tu trouves des contre-vérité sur ce blog, pourquoi, t’obstines-tu à le fréquenter ? Que t’importe qu’on soit bien ou mal informé sur les OGM ? Dis moi Albert que t’importe qu’on soit bien ou mal informé ? Si tu es charcutier ou dentiste, ou journaliste chez Auto+ , ou cordonnier, que t’importe que MM Robin dise ou non la vérité ?
J’aimerais que tu me dises pourquoi ces « contre-vérité » (selon toi) te dérangent et pourquoi ne pas choisir de visiter un blog ou un forum qui ne dirait pas de « contre-vérités » ?
Albert L , TU mens , comme vous mentez tous les lobbyistes.
Vous avez un point commun ,vous, les aatea, wackes seppi, Albert L : la lâcheté. Vous voulez dénoncer de contre-vérité, mais vous ne voulez pas nous dire pourquoi ? Il existe pourtant une raison d’être gêné par ces contre- vérités. Une contre-vérité çà n’emmerde pas celui qui n’est pas concerné par le sujet auquel elle est attaché.
Alors AlbertLa lâcheté ?
pas de réponse ?
« Je n’ai aucune compétence particulière. J’ai noté des invraisemblances, pour ne pas dire des contre-vérités, dans les écrits de Mme Robin. »
– pour quelle raison fréquentes-tu assidulent un blog truffé de contre-vérité ?
Un type qui serait un tantinet pas idiot irait se promener sur d’autre blog mais certainement pas sur ceux qui contiennent des « contre-vérités ».
Pourquoi tu viens ici gros lâche honteux de Albert L ?
On t’a élevé comment dans ta famille ? Tu n’as donc aucune fierté ? A aucun moment cela te dérange d’être aussi lâche au point de nous cacher tes véritables motivations ? On assure pas Albert L le petit médiocre ?
Ecoute Albert. Je suis capable de te dire en toute franchise ,( oui, sans rien te cacher), pourquoi je suis contre les OGM. Pourquoi un pauvre idiot comme toi, un lâche comme toi, tu n’es pas capable de me dire en toute franchise pourquoi tu es POUR ?
Pourquoi cacher tes intérêts ? c’est honteux ? Pourquoi un comportement aussi nul, que le tien ? Tu n’as pas honte Albert L d’être aussi médiocre de ne pas assumer ton choix ? Tu n’as pas honte Albert L ne ne penser qu’à ta petite tronche ridicule en t’en foutant du reste du monde ?
Bonjour!
A l’attention de la clique des zélotes pro-ogm:
Hahaha, très drôle, on retrouve la même meute de chiens enragés que sur d’autres espaces ouverts aux commentaires et consacrés aux ogm, la même horde de fanatiques prêts à tout et n’importe quoi pour pourrir le travail d’une journaliste qui vous dérange. Si vraiment elle mentait aussi éffrontément que vous le prétendez, eh bien, écrivez vous aussi un livre, sortez un film, bougez-vous le cul, plutôt que de diffamer, dénigrer, désinformer. Allez zou! Faites le à visage découvert, et pas derrière des pseudos. Dites qui vous êtes, si vous étes des scientifiques, des journalistes, des mafieux, allez-y exposez-vous, utilisez votre temps intelligement! Et arrêtez de pourrir le web, on a pas besoin de parasites de votre trempe, le monde est déjà assez con sans vous, abstenez-vous au minimum, par pitié!